mardi 30 mars 2010

Pèlerinage de Bègles.

Bonjour à tous,
A l'occasion du dernier match de la saison au stade Moga de Bègles, Thierry Faure, Eric Le Blay et moi mème vous proposons de nous retrouver autour d'un barbecue d'avant match ou ( d'après match selon l'horaire).
Ce match risque d'ètre décisif dans l'optique des play offs pour les deux équipes,  l'enjeu sportif est donc important.
Je vous remercie de m'indiquer vite votre participation afin que je retienne les places.
Le barbecue se déroulera dans les locaux d'ISB rue Aristide Berges à Floirac.
Le match se déroulera le 17 ou le 18 Avril. Ce sera le 17/04 à 18h30 s'il n'est pas télévisé le 18/04 à 15h00 dans la cas contraire.
Vincent Bégouin.




Je confirme l'importance de ce barbecue, pardon, de ce match.



Pour les nouvelles et nouveaux qui ne seraient pas au fait des subtilités de ce sport, il faut savoir que Le rugby est un sport d’équipe, qui vient d’Angleterre, comme tous les sports, sauf le sumo, qui vient des problèmes d’obésité.

Ce sport ressemble un peu au football, parce que pour jouer, il faut de l’herbe. Ou de la glace, mais alors c’est du hockey.
Mais surtout le rugby c’est différent du football, parce que sinon les Brésiliens sauraient jouer.

Tout d’abord, au foot par exemple, un joueur chétif peut faire tomber un attaquant en soufflant dessus. C’est un sport très violent parce qu’ensuite l’attaquant vole dans les airs, puis retombe le nez dans l’herbe en se tenant le genou gauche, roule sur plusieurs centaines de mètres, emporté par la violence du choc, en pleurant, et en appelant sa mère. Alors l’arbitre appelle le Dr. Pshitt vient avec du déodorant, et le vaporise sur le genou du numéro 9, pour que ça ne sente plus le gazon mouillé, mais les cocotiers un matin de printemps.

Les joueurs de rugby sont différents.



Ils sont un peu plus solides (sans doute à cause des matériaux utilisés pour leur construction). Il faut se mettre à XV (ou XIII si c’est du rugby à treize) pour faire tomber un adversaire.



Souvent les rugbymans sont orphelins, et en effet, ils n’appellent jamais leur mère. Enfin, ils sentent mauvais des genoux, puisque personne ne leur amène du déodorant, quand ils se salissent les shorts en tombant sur la pelouse.

Les joueurs de rugby ont un cerveau, et pour éviter de le perdre pendant le match, ils se mettent du scotch autour de la tête, ça tient mieux que le gel.

A l'inverse, les footballeurs se coiffent avec du gel, et mettent du scotch à leurs chevilles, pour ne pas perdre leurs pieds (d’où l’expression « con comme ses pieds »).

Le ballon de rugby est comme le ballon de foot mais en ovale, et quand il tombe, il rebondit un peu n’importe où et c’est marrant parce que les joueurs courent après sans réussir à l’attraper. L’inventeur du rugby était quelqu’un de très facétieux, et un peu rouquin.

Quelque chose de typique du rugby, c’est le mikado de la mêlée : les joueurs se mettent en tas sur le ballon pour qu’il arrête de rebondir n’importe où. C’est une phase de jeu très délicate, parce que je le rappelle, personne n’apporte de déodorant aux rugbymans. C’est pour ça que beaucoup préfèrent avoir le nez cassé plutôt qu’un nez qui fonctionne. L’arbitre regarde la mêlée, et doit deviner qui a attrapé le ballon. Quand il pense avoir trouvé, il lève un bras et siffle. Alors tout le monde se relève en remettant ses shorts en place, et le gagnant donne le ballon à l’arbitre, qui est content.

Au foot, les joueurs se mettent en tas aussi, mais seulement quand le ballon est dans le but adverse. Ce qui rend la mêlée tout à fait inutile, puisque le ballon n’est même pas sous eux. Mais bon, allez expliquer ça à des footballeurs.

Au rugby, le but du jeu, c’est de gagner le match. Sinon, il n’y a pas de troisième mi-temps. Pour gagner le match, il faut faire des essais, parce que c’est pas facile.



Si un joueur arrive à porter le ballon derrière la ligne, c’est un très bel essai. Pour le récompenser, on lui permet du tirer par-dessus les buts, à condition qu’il arrive à marcher en arrière en comptant ses pas.



Paradoxalement, au rugby, pour faire avancer le ballon, on ne peut le passer qu’en arrière. Ca s’appelle une superbe ouverture, alors qu’au foot on dit que « c’est de l’antijeu, ils font chier à toujours temporiser ces italiens ».

Les nations les plus fortes au rugby parlent anglais, mais personne ne sait pourquoi. Elles se donnent toutes des surnoms à base d’animaux exotiques : walibis, springboks, kiwis (qui sont des animaux s’ils ont des pattes, et des desserts s’ils ont une cuiller plantée au milieu).

Il y a une équipe qui s’appelle « à la rose » parce qu’ils mettent du déo, et une qui s’appelle les bleus, parce qu’ils ont la peau qui marque vite. Enfin, il y a Tonga et Fidji, qui ne sont pas très forts, donc leurs adversaires les finissent sous la douche.



Avant le début du match, ceux qui sont habillés en noir se tapent sur les cuisses en tirant la langue à leurs adversaires, ce qui n’est pas très poli. Mais comme le carton rouge n’existe pas tout le monde s’en fout.



Après le match, les joueurs posent pour des calendriers dans les vestiaires, pour savoir quand ils doivent revenir au stade.

Enfin, la troisième mi-temps peut commencer. C’est une phase de jeu à base de tapes dans le dos, de bières et autres breuvages, pour laquelle le scotch n’est plus nécessaire, en tout cas pas autour de la tête…

Pour conclure, on peut dire qu’au rugby c’est toujours les noirs qui gagnent, et les autres qui ont des bleus…

Eric


lundi 29 mars 2010

Réunion statutaire du vendredi 19 mars 2010

Présents : Jean-Philippe AURIN - Vincent BEGOUIN - Daniel BOULET - Dominique BLOCK - Thierry FAURE - Laurent FRAPIER - Vincent GAY - Joël LABARBE - Eric Le BLAY - André MOUSCARDES - Jean-Yves NAOURES - Emmanuel RABATE - Christine SCHIEBER -


Après le week-end en altitude pour le biathlon annuel « raquette-raclette » organisé par notre ami Bernard, le plein de globules, et autres rouges a, selon les échos de nos montagnes, été fait. 

Je ne sais pas si cela a un rapport direct avec cette escapade, mais des observateurs du Parc National des Pyrénées rapportent que ce week-end là les ours slovènes implantés récemment se sont plaints de touristes avinés beuglant à tue-tête en pleine nuit, et se permettant même des privautés comme vouloir leur lécher leur museau !

De récentes études sur la pilosité de l’ours ont mis en évidence un lien de parenté évident avec Demis Roussos. 

Malheureusement l’héritage génétique du chanteur s’arrête là, car nos amis plantigrades ne possèdent à l’évidence pas d’oreille musicale assez complaisante pour supporter un réveil en fanfare de joyeux lurons en goguette…

Si en plus ils sont mal léchés, imaginez l’humeur des pauvres bêtes...

Mais, officiellement, cela n’a rien à voir avec nos amis montagnards qui, en fête, heu pardon, en fait, étaient partis là-haut en vue d’effectuer une préparation physique poussée afin de participer au mieux à « Mon sang pour les autres » qui a lieu ce week-end sur les allées Tourny.

Pour rester dans le rouge, il a été annoncé lors de notre dernière réunion statutaire que le projet d’une journée Ferrari, en septembre, vient d’être lancé à l’initiative de Joël Labarbe. Une commission Enzo a été mise en place, sur les chapeaux de roue. Affaire à suivre, à fond.

Espérons que cette nouvelle opération aura autant de succès que le Dîner de Cons du 6 mars dernier.

La représentation nous a permis de récolter 3000 euros qui seront reversés à M.S.F. le 16 avril prochain, lors de notre réunion statutaire, en présence des membres-acteurs du Club du Médoc, et vraisemblablement d’un représentant de la Mairie de Bruges qui nous accueillait. 

Cette action finance également la Shelter Box (750 €) que nous avions fait envoyer sur place au lendemain de la catastrophe d’Haïti.

Cette fois encore l’implication de Bernard Monblanc est a souligner, omniprésent au travers de l’organisation de la soirée, des repas servis, et même des dons reçus.

A noter ce mois ci, les anniversaires de Vincent Bégouin et Laurent Frapier, récompensés pour leur longévité par une belle cravate. Face à ce vieillissement inéluctable, inquiets pour nos retraites, Muriel et Thierry annoncent l’arrivée prévue d’un troisième enfant prochainement.

Notre président rappelle à tous que la conférence de District du 10 avril prochain à Arcachon est éventuellement obligatoire suivant vos disponibilités. 

Pour terminer, Dominique, au nom de tous, présente toutes ses condoléances à Patricia Naourès, suite au récent décès de son père.

jeudi 25 mars 2010

La lettre du Gouverneur du District 1690 LETTRE N° 8 - AVRIL 2010

Avril, mois de la revue...et de la conférence de district.

La revue « Le Rotarien » que nous feuilletons, parcourons et parfois même lisons in extenso, est la plus ancienne revue du Rotary : le premier bulletin d’une dizaine de pages contenant un texte de Paul HARRIS est paru en Janvier 1911.
Bien qu’actuellement la communication toute électronique gagne sans cesse du terrain, il ne faut surtout pas sous-estimer l’importance de la communication papier ; les magazines du Rotary (au nombre de 32, traduits en 25 langues et diffusés à plus de 1 200 000 exemplaires de par le monde), qu’il s’agisse du ROTARIEN français, du ROTARIAN anglais ou du ROTARY WORLD dans son édition trimestrielle en version française, nous fournissent une vue d’ensemble des activités des Clubs, des Districts et du siège du Rotary.

Tout ceci s’intègre dans la rubrique Communication, domaine, où il nous faut bien l’avouer, nous ne sommes pas très performants ; il suffit pour s’en convaincre de relire le numéro spécial du ROTARIEN de décembre 2008 qui est, à mon avis, toujours aussi valable en avril 2010.

Le Rotary est célèbre mais il est toujours aussi mal connu des autres et souvent des rotariens eux-mêmes. Cette année, pour la seconde fois, a eu lieu la « semaine de la communication » quelques semaines avant notre Conférence de District où j’ai convié le nouveau Président de l’Association « le Rotarien » qui nous entretiendra de notre revue et nous fera part de sa vision pour les années à venir.

Encore faut-il que chaque rotarien se sente concerné et souhaite compléter sa connaissance du Rotary et participer à l’évolution de notre revue. 

Un bon moyen pour atteindre cet objectif est d’assister à la Conférence de District où ces questions pourront être abordées en toute liberté.

Nous ne véhiculerons l’image d’un Rotary dynamique et digne d’intérêt que si chaque rotarien (et chaque Club) participe à ces rencontres, lieu d’échange par excellence ?

Michel MARQUAIS